Tuesday, August 30, 2011

zen









Out of sync/PR vs Direct Democracy L'Express 30/08/11

Out of sync

More power to voters should be at the centre of our concerns.

Of the many cases of quiproquo that we have witnessed in politics, the present situation might be the most glaring of them all. In a year scarred by scandals, where the dearth of integrity of our governing leaders became so apparent that even highly politicised institutions finally started acting, talks of the introduction of the PR system sound sorely out of place.

For most of 2011, people have vehemently denounced the misuse of power. Clear in their rejection of the opaqueness surrounding the Medpoint issue. The latter, the culmination of years of shadiness in political spheres confirmed that power was effectively centralised in the hands of a few.  Then, how could it be that instead of empowering citizens through direct democracy and counter the hegemony of parties, we find ourselves trapped in a debate on the need for Proportional Representation. Somehow, the right message never got to those wielding power…

Issues with Proportional Representation
What we should ask ourselves is whether the introduction of the proposed amended electoral system would cure the most pertinent ills of the present one. Would greater accountability from MPs be gleaned out of it? Would it boost the number of competent figures and ensure that local concerns are taken into consideration? Would it help severe ties between corporate powerhouses and political factions? David Cameron, in an article for the New Politics series in The Guardian, highlighted that;

“Proportional representation takes power away from the man and woman in the street and hands it to the political elites. Instead of voters choosing their government on the basis of the manifestos put before them in an election, party managers would choose a government on the basis of secret backroom deals.”

Electoral Reform, the one which is needed, would scrap the BLS system, cure the political funding mess and ensure a greater balance between the Legislative and the Executive. PR is certainly not at the heart of pressing concerns for it would further subdue voter representation to party representation. Farcical it has been these last few weeks; People and parties with dimming political futures managing a last hurrah by making allegations of all kinds and belittling their former colleagues. And what about the people of this country? Should we leave buzz-seekers to cater for their needs or should serious members of parties finally own up to their responsibilities?

The case for direct democracy in Mauritius
The need for greater involvement of voters in the democratic life of our country is a must. If referendums on an occasional basis are a sign of a healthy democracy, then Mauritius as a democratic state has been in the coma for long enough to be declared dead. The ideal model would be one in the lines of the Swiss system where citizens are empowered enough to have their say on non-recurring expenses above a certain sum of money and can initiate new legislations and have the authority to amend laws.

Even more importantly, an open society would stimulate public discussion and would offer citizens the platform where they can vigorously debate government policies. This contrasts with the superficial democracy we presently have where involvement is limited to one voting expedition every five years and decisions are in the hands of a few political leaders. This greater participation can only be the harbinger for a country where there are effective checks and balances and corruption would sizeably reduce.

Politicians want an à la carte electoral reform. The people need control over their collective destiny.

Citoyen Engaz Toi!

Chetan Ramchurn

Monday, August 29, 2011

The case for the introduction of a minimum wage/29.08.11

BASIC LABOUR STANDARD: The case for the introduction of a minimum wage

Wednesday, August 17, 2011

Le systeme de quota/Le Mauricien 17.08.11

LE SYSTÈME DE QUOTA: “Progrès” pour les femmes, recul pour la méritocratie

LE SYSTÈME DE QUOTA: “Progrès” pour les femmes, recul pour la méritocratie | Le Mauricien

LE SYSTÈME DE QUOTA: “Progrès” pour les femmes, recul pour la méritocratie | Le Mauricien

Thursday, August 11, 2011

Et quel sera le prochain episode de la saga medpoint? par Nooreeda Khodabocus Le Mauricien 11/08/11

L’INTRIGUE PRINCIPALE: Et quel sera le prochain épisode de la saga Medpoint ?


Comme la faune et la flore, la politique est aussi endémique de notre petite île. C’est ce que nous démontre la saga Medpoint et tout ce qui se passe dans les différents partis politiques ces derniers jours.
Tout le monde en parle. La nouvelle a tenu l’île en haleine pendant des jours. Tel un feuilleton, les épisodes se sont déroulés sous nos yeux. Certains étaient prévisibles, d’autres ont eu l’effet d’une bombe.
Il y a eu la dénonciation de l’affaire Medpoint par le leader de l’opposition. Ensuite, nous avons eu droit au temps de réaction légendaire de notre Premier Ministre à agir. Et encore, une démission en bloc des ministres du MSM, tout en criant loyauté à l’Alliance de l’Avenir. Puis, l’inévitable cassure. Après la cassure, comme on pouvait le deviner, de grand allié d’hier, Navin Ramgoolam est traité de tous les noms par son ex- « frère », Jugnauth fils.
En effet, alors que Pravind Jugnauth faisait encore partie de l’alliance gouvernementale, tout allait bien dans le meilleur des mondes. Une fois le divorce annoncé, voilà que chacun se jette la pierre. Et dans toute cette histoire, c’est finalement Paul Bérenger qui est loué. Pour Navin Ramgoolam, il est même devenu quelqu’un doté d’une « culture politique ».
Après le divorce, là encore, on pouvait s’y attendre, nous avons eu droit à l’épisode « transfuge » qui nous tient d’ailleurs toujours en haleine. Quelle image devons-nous alors garder d’un PM qui aime clamer que lorsqu’on quitte un parti politique, il vaudrait mieux arrêter tout court la politique ?
Cela voudrait-il dire que le PM aurait redéfini le transfugisme ? Quand tu quittes mon parti tu es un transfuge. Quand après la cassure de l’alliance gouvernementale tu choisis d’abandonner ton parti pour intégrer mon équipe, tu es quelqu’un qui choisit de continuer le travail annoncé sous la bannière d’une alliance morte.
Nous avons aussi eu droit à l’épisode de la révélation concernant S. Soodhun, président du MSM comme étant la source de l’information que détenait Paul Bérenger. Et comme au MSM on a un grand sens de la loyauté, alors qu’il n’était que suppléant, il devient le président.
Et après toutes ces péripéties, on retrouve une opposition composée essentiellement du MMM et du MSM, face à un Ptr affaibli malgré les dires de ses dirigeants.
Que nous réserve le feuilleton ? Est-ce une de ces séries dont on se lasse vite, tellement les épisodes se répètent ou une de celles qui sait nous tenir en haleine ? Le dénouement, sera-t-il digne de l’attente ou sera-t-il une déception ?
Suite aux récents événements, la posture des 3 grands partis pourrait se résumer ainsi. Le Ptr est à la pêche aux transfuges pour s’assurer une pseudo-aisance avec sa majorité minime. Le MSM en est aux menaces envers le Ptr, et aurait des révélations à faire. Et le MMM est le parti qui aura permis de mettre au jour toute cette affaire.
Parmi les scénarios possibles pour la suite de la saga, le premier scénario, comme le veulent les bruits qui courent, serait une alliance MSM-MMM. Question : quelle crédibilité aurait le MMM à s’allier avec un parti qui serait soupçonné d’être impliqué dans le scandale du siècle ? L’autre scénario serait un travail d’équipe entre les 2 grands partis qui forment l’opposition afin de la renforcer. Le MMM saura-t-il se montrer digne et résister à la tentation d’alliance ou se laissera-t-il une fois de plus tenter afin de s’assurer un bon score aux élections ?
Dans l’éventualité d’une quelconque alliance de la part du MMM, ce serait alors perdre en crédibilité du côté de son électorat. Une alliance le ramènerait du côté des assoiffés de pouvoir. Que l’ICAC fasse son travail. Que l’opposition fasse son travail à la reprise des travaux parlementaires. Que ce soit chaque parti pour soi et tous pour le pays !
Manchester Utd et Arsenal… vs. Liverpool ?
Parce qu’en fin de compte, à quoi se résument ces jeux d’alliances ? Le ridicule de cet état des choses se révèle par une simple analogie à un domaine que tout le monde ou presque peut comprendre : le football. On aurait Manchester United qui se prépare pour un match face à son grand rival Liverpool. Pendant la préparation, l’entraîneur se rend compte d’une certaine lacune en défense. Il demande alors à Arsenal de s’allier à lui pour qu’à eux deux ils puissent vaincre Liverpool. Ridicule n’est-ce pas ? Mais c’est ce que nous servent les partis politiques depuis des lustres. Un parti c’est une équipe, uni par des convictions, une idéologie, une philosophie, un programme. Bien qu’il puisse avoir des points communs avec un autre parti, les deux restent foncièrement différents. Les alliances sont tout simplement ridicules et vouées à la cassure comme toutes les différentes alliances qui se sont succédé sur la scène politique l’ont démontré. Et à l’issue de ces manigances de la part des dirigeants de différents partis, il n’est pas drôle que les partisans en soient arrivés à « soutenir » un parti comme on soutient une équipe de foot. J’aime les diables rouges et je ne changerai pas d’équipe même s’ils sont sûrs de perdre… On soutient un parti sans se poser de questions, sans réfléchir, sans pouvoir être objectif.
Alors que nous réserve le feuilleton ? L’avenir nous le dira. Et pour une fois peut-être nous souhaiterions que les bruits qui courent soient faux et que ce qui se passe sur l’avant scène n’occulte pas l’intrigue principale qui demeure l’affaire Medpoint.
* Jeunesse Militante

Wednesday, August 10, 2011

on n'est pas dupe! by Fabiani Balisson/Le Mauricien 09/08/2011

On n’est pas dupe !